Sur les ondes de radio France internationale, un des avocats des opposants nouvellement libérés avaient laissé entendre que 350 militants de l’Union des Forces Démocratiques de Guinée de Cellou Dalein DIALLO seraient détenus à la maison centrale.
Il s’agit du Me Abdoulaye Keita et les propos-ci ont suscité la réaction des services de communication du ministère de la justice.
Dans un premier temps le département trouve le chiffre 350 faux et inventé et précise que les personnes qui répondent actuellement des faits qui leurs sont reprochés ne le seraient pas pour leur appartenance à l’opposition et à l’UFDG.
Ces déclarations interviennent 48 heures, après la mise en liberté semi- surveillée de quatre cadres du parti de Cellou Dalein Diallo.
Ci-dessous la copie du Communiqué :