
Alors que d’autres interpellés il y a quelques semaines croupissent à la maison centrale de Conakry pour “entrave aux mesures d’urgence sanitaire et attroupement illégal…”. Certains ont payé 500 milles francs guinéens pour échapper à un emprisonnement à la maison centrale, où se trouveraient d’ailleurs plusieurs tenanciers de Bars et clients depuis quelques semaines.
Parmi ces personnes libérées, figurent des citoyens interpellés le week-end dernier au-delà de 00 heure par des agents de police. Une situation que n’apprécient pas ces personnes qui accusent les agents de la police du deux poids, deux mesures.
Pierre LEODESTIN