Aujourd’hui l’unanimitĂ© sur l’existence du destin prĂ©sidentiel de Dr 𝗙𝗔𝗬𝗔 𝗠𝗜𝗟𝗟𝗜𝗠𝗢𝗨𝗡𝗢 prĂ©suppose que l’histoire Ă venir d’un individu, portĂ© Ă gouverner une sociĂ©tĂ©, dont le dĂ©veloppement a toujours Ă©tĂ© repoussĂ© aux calendes grecques ou encore Ă l’affĂ»t d’un temps qui est en avance sur lui-mĂŞme, serait dĂ©jĂ Ă©crite et ne pourrait ĂŞtre modifiĂ©e par aucun homme. Les formes que l’on peut attribuer Ă cette puissance divine qui rĂ©gie le destin de cet intellectuel de grand chemin sont extrĂŞmement variĂ©es : divinitĂ© transcendante ou immanente dans les conceptions finalistes du monde, raison interne Ă la nature ou consĂ©quence des lois physiques dans les conceptions stoĂŻciennes ou dĂ©terministes. C’est un espoir qui va au-delĂ de toutes les attentes, l’homme qui croĂ®t fortement Ă ses convictions politiques, se concocte Ă briguer le sommet de l’État. La fonction prĂ©sidentielle et ses codes lui iront Ă merveille, de tout coup spectaculaire, il sera mieux plus confortable dans sa veste prĂ©sidentielle, après une si longue conquĂŞte du pouvoir, que dans le pillage des deniers publics qui est loin de sa culture politique, et l’idĂ©e qu’il a de la fonction de PrĂ©sident de la RĂ©publique. L’attribut premier du PrĂ©sident 𝗙𝗔𝗬𝗔 𝗠𝗜𝗟𝗟𝗜𝗠𝗢𝗨𝗡𝗢, est de crĂ©er une fois au pouvoir un logiciel de luciditĂ© et de courage froid, pour permettre aux guinĂ©ens de reconnaĂ®tre que la culture et le culte du travail, du mĂ©ritoire sont Ă dĂ©velopper dans notre pays.Â
Pour beaucoup d’entre nous les tares du passé et surtout le système de prédation instauré sauvagement par l’élite post-coloniale ont fini d’installer une culture qui réduit le travail à une souffrance à laquelle on cherche à échapper au louvoyant, en trichant, en faisant le simulacre (car, en même temps, on aime l’argent que procure le travail). Pour Dr 𝗙𝗔𝗬𝗔, Il est urgent de mettre la Guinée, surtout celle des zones urbaines, au travail, valeur sociale immuable, seule à même de procurer la liberté des masses, l’épanouissement social et la prospérité économique.
Pour Dr 𝗙𝗔𝗬𝗔 𝗠𝗜𝗟𝗟𝗜𝗠𝗢𝗨𝗡𝗢 la situation guinéenne est gravissime certes, mais elle n’est pas fatale. Elle illustre simplement les symptômes de causes rationnelles connues qui nécessitent une approche systémique. Oui, c’est le système lui-même, dans ses différentes composantes, qui est compromis et dirigé contre l’intérêt général, national, puisque fondé sur des contre-valeurs qui ont pour noms incompétence, népotisme, corruption généralisée, acceptation de la domination de l’influence interne et externe, démagogie politicienne. Voilà ce qui génère les métastases de cette gestion publique scandaleuse et prébendière des ressources naturelles minières, foncières etc… de notre cher pays.
Dans un pays où le processus électoral a toujours été un danger pour la stabilité nationale car l’argent a pris une place incontestée dans la politique tuant du coup le débat d’idées fortes et les grandes réformes nationales, d’où la piètre qualité de l’élite politique et les faibles performances dans les gouvernances d’État. Pour Dr 𝗙𝗔𝗬𝗔, ce cycle d’échecs et de déceptions politiques déjà forgés dans ce système pieuvre dont le peuple est à la fois complice et victime nous condamne tous à vivre le désastre moral et économique dans lesquels nous sommes aujourd’hui. Pour beaucoup d’entre nous l’intégrité constitue d’avantage une posture qu’une conviction. Or, pour reprendre l’actuel Premier Ministre Malien Choguel Kokala Maïga : « La politique c’est l’art de réaliser ce qui est possible et de rendre possible ce qui est nécessaire ». Ceci dit, qu’est ce qui est possible, nécessaire et réalisable en Guinée ? Pour Dr 𝗙𝗔𝗬𝗔, ce qui est nécessaire et réalisable est de croire que nous avons cette grande capacité à rendre possible tous, ce qui est nécessaire et réaliser ensemble ce qui est possible pour enfin construire ce modèle politique, exemplaire dans ce monde qui ne nous attend plus déjà car nous avons trop perdu du temps, c’est maintenant oui dès maintenant qu’il faut s’y atteler.
C’est tout ce qui démontre la crise de notre société, attestée par de nombreux cas de viols, enlèvements, assassinants, morts d’hommes, (même sur des enfants à bas âge).
Pour Le futur premier magistrat de notre nation la situation est à l’image de notre retard économique, qui d’ailleurs en est la resultante de cette grosse paupérisation à la fois mentale et matérielle. Par nos actes peu honorables et désastreux, le pays est transformé en une pétaudière sans équivalence.
Le système dont il s’agit est pernicieux, c’est une pieuvre tentaculaire et à plusieurs têtes c’est pourquoi le Président 𝗙𝗔𝗬𝗔 𝗠𝗜𝗟𝗟𝗜𝗠𝗢𝗨𝗡𝗢 en parle à chaque sortie médiatique. Pour le président 𝗙𝗔𝗬𝗔 C’est d’ailleurs une incommensurable et monumentale erreur de l’identifier par sa seule composante politique. En son sein, se trouve des échantillons représentatifs de toutes les couches socio-professionnelles: hommes politiques, technocrates, hauts fonctionnaires, patrons de presse et hommes de média, affairistes de tous bords, leaders religieux, lobbies d’État et privés étrangers. Chacune de ses composantes joue sa partition dans le maintien et la perpétuation du système et en contre partie reçoit les avantages sonnants et trébuchants sous forme de juteux marchés, de promotions politiques ou administratives et d’absolution des actes de mal gouvernance, d’attributions de fréquences accompagnées d’immunité fiscale et d’avantages occultes, de mallettes d’argents et d’attributions foncières assaisonnées de passeports diplomatiques, de garantie de grande part de marché faisant de la Guinée un gâteau livré au partage étranger. Tout tourne autour d’intérêts personnels et nul, en vérité, ne se soucie de la Guinée, de son avenir et de son peuple qui croupi dans une paupérisation grandissante. On fait semblant et on enfarine, au moyen de promesses démagogiques, du trafic d’influence, du pouvoir de l’argent illicitement acquis, des manipulations médiatiques et du soutien des lobbies, véritables maîtres du système. Le citoyen lui, mal formé et désinformé, n’y voit que du feu. Mais une chose est sûre, si ce système se régénère c’est à cause de nos peurs et de notre inaction. Les plus avertis pensent avoir trouvé un exutoire dans l’expression de la volonté citoyenne par le vote, préférant fatalement s’en remettre à Dieu entre toutes les échéances électorales qui toujours s’avèrent fatales.
Pour Dr 𝗙𝗔𝗬𝗔, il faut malgré tout espérer en s’armant des clés véritables du changement présent pour l’avenir des défis présents et à venir.
Voici pourquoi nous devons croire à un homme qui dépeint la situation sans y laisser même un pan ? Pour lui, nous pouvons remporter cette grande bataille en exprimant la simple et réelle volonté d’action. Pour le président 𝗙𝗔𝗬𝗔 le chemin du changement est à la fois facile et difficile. Facile, car le chemin est connu, difficile car emprunter le chemin et s’y maintenir jusqu’à destination nécessitent énormément d’efforts, de volonté, de patience et de persévérance. Voici pourquoi un homme qui a décidé de tout changer se bat à vos côtés pour changer ce cours sale de notre histoire, et ce chemin il souhaite l’écrire avec tout le monde sans aucune exclusion.
Croyons en-lui car il est capable de changer les choses.
C’est toute sa conviction politique qui s’inscrit dans le temps qui le conduira au pouvoir malgré l’aplaventrisme cauteleux, la fourberie mensongère, la condescendance maladive, qui ont toujours été les attributs du mal guinéen !
Triste pays..
𝗔𝗕𝗢𝗨𝗕𝗔𝗞𝗥 𝗚𝗨𝗜𝗟𝗔𝗩𝗢𝗚𝗨𝗜.
Aujourd’hui l’unanimitĂ© sur l’existence du destin prĂ©sidentiel de Dr 𝗙𝗔𝗬𝗔 𝗠𝗜𝗟𝗟𝗜𝗠𝗢𝗨𝗡𝗢 prĂ©suppose que l’histoire Ă venir d’un individu, portĂ© Ă gouverner une sociĂ©tĂ©, dont le dĂ©veloppement a toujours Ă©tĂ© repoussĂ© aux calendes grecques ou encore Ă l’affĂ»t d’un temps qui est en avance sur lui-mĂŞme, serait dĂ©jĂ Ă©crite et ne pourrait ĂŞtre modifiĂ©e par aucun homme. Les formes que l’on peut attribuer Ă cette puissance divine qui rĂ©gie le destin de cet intellectuel de grand chemin sont extrĂŞmement variĂ©es : divinitĂ© transcendante ou immanente dans les conceptions finalistes du monde, raison interne Ă la nature ou consĂ©quence des lois physiques dans les conceptions stoĂŻciennes ou dĂ©terministes. C’est un espoir qui va au-delĂ de toutes les attentes, l’homme qui croĂ®t fortement Ă ses convictions politiques, se concocte Ă briguer le sommet de l’État. La fonction prĂ©sidentielle et ses codes lui iront Ă merveille, de tout coup spectaculaire, il sera mieux plus confortable dans sa veste prĂ©sidentielle, après une si longue conquĂŞte du pouvoir, que dans le pillage des deniers publics qui est loin de sa culture politique, et l’idĂ©e qu’il a de la fonction de PrĂ©sident de la RĂ©publique. L’attribut premier du PrĂ©sident 𝗙𝗔𝗬𝗔 𝗠𝗜𝗟𝗟𝗜𝗠𝗢𝗨𝗡𝗢, est de crĂ©er une fois au pouvoir un logiciel de luciditĂ© et de courage froid, pour permettre aux guinĂ©ens de reconnaĂ®tre que la culture et le culte du travail, du mĂ©ritoire sont Ă dĂ©velopper dans notre pays.
Pour beaucoup d’entre nous les tares du passé et surtout le système de prédation instauré sauvagement par l’élite post-coloniale ont fini d’installer une culture qui réduit le travail à une souffrance à laquelle on cherche à échapper au louvoyant, en trichant, en faisant le simulacre (car, en même temps, on aime l’argent que procure le travail). Pour Dr 𝗙𝗔𝗬𝗔, Il est urgent de mettre la Guinée, surtout celle des zones urbaines, au travail, valeur sociale immuable, seule à même de procurer la liberté des masses, l’épanouissement social et la prospérité économique.
Pour Dr 𝗙𝗔𝗬𝗔 𝗠𝗜𝗟𝗟𝗜𝗠𝗢𝗨𝗡𝗢 la situation guinéenne est gravissime certes, mais elle n’est pas fatale. Elle illustre simplement les symptômes de causes rationnelles connues qui nécessitent une approche systémique. Oui, c’est le système lui-même, dans ses différentes composantes, qui est compromis et dirigé contre l’intérêt général, national, puisque fondé sur des contre-valeurs qui ont pour noms incompétence, népotisme, corruption généralisée, acceptation de la domination de l’influence interne et externe, démagogie politicienne. Voilà ce qui génère les métastases de cette gestion publique scandaleuse et prébendière des ressources naturelles minières, foncières etc… de notre cher pays.
Dans un pays où le processus électoral a toujours été un danger pour la stabilité nationale car l’argent a pris une place incontestée dans la politique tuant du coup le débat d’idées fortes et les grandes réformes nationales, d’où la piètre qualité de l’élite politique et les faibles performances dans les gouvernances d’État. Pour Dr 𝗙𝗔𝗬𝗔, ce cycle d’échecs et de déceptions politiques déjà forgés dans ce système pieuvre dont le peuple est à la fois complice et victime nous condamne tous à vivre le désastre moral et économique dans lesquels nous sommes aujourd’hui. Pour beaucoup d’entre nous l’intégrité constitue d’avantage une posture qu’une conviction. Or, pour reprendre l’actuel Premier Ministre Malien Choguel Kokala Maïga : « La politique c’est l’art de réaliser ce qui est possible et de rendre possible ce qui est nécessaire ». Ceci dit, qu’est ce qui est possible, nécessaire et réalisable en Guinée ? Pour Dr 𝗙𝗔𝗬𝗔, ce qui est nécessaire et réalisable est de croire que nous avons cette grande capacité à rendre possible tous, ce qui est nécessaire et réaliser ensemble ce qui est possible pour enfin construire ce modèle politique, exemplaire dans ce monde qui ne nous attend plus déjà car nous avons trop perdu du temps, c’est maintenant oui dès maintenant qu’il faut s’y atteler.
C’est tout ce qui démontre la crise de notre société, attestée par de nombreux cas de viols, enlèvements, assassinants, morts d’hommes, (même sur des enfants à bas âge).
Pour Le futur premier magistrat de notre nation la situation est à l’image de notre retard économique, qui d’ailleurs en est la resultante de cette grosse paupérisation à la fois mentale et matérielle. Par nos actes peu honorables et désastreux, le pays est transformé en une pétaudière sans équivalence.
Le système dont il s’agit est pernicieux, c’est une pieuvre tentaculaire et à plusieurs têtes c’est pourquoi le Président 𝗙𝗔𝗬𝗔 𝗠𝗜𝗟𝗟𝗜𝗠𝗢𝗨𝗡𝗢 en parle à chaque sortie médiatique. Pour le président 𝗙𝗔𝗬𝗔 C’est d’ailleurs une incommensurable et monumentale erreur de l’identifier par sa seule composante politique. En son sein, se trouve des échantillons représentatifs de toutes les couches socio-professionnelles: hommes politiques, technocrates, hauts fonctionnaires, patrons de presse et hommes de média, affairistes de tous bords, leaders religieux, lobbies d’État et privés étrangers. Chacune de ses composantes joue sa partition dans le maintien et la perpétuation du système et en contre partie reçoit les avantages sonnants et trébuchants sous forme de juteux marchés, de promotions politiques ou administratives et d’absolution des actes de mal gouvernance, d’attributions de fréquences accompagnées d’immunité fiscale et d’avantages occultes, de mallettes d’argents et d’attributions foncières assaisonnées de passeports diplomatiques, de garantie de grande part de marché faisant de la Guinée un gâteau livré au partage étranger. Tout tourne autour d’intérêts personnels et nul, en vérité, ne se soucie de la Guinée, de son avenir et de son peuple qui croupi dans une paupérisation grandissante. On fait semblant et on enfarine, au moyen de promesses démagogiques, du trafic d’influence, du pouvoir de l’argent illicitement acquis, des manipulations médiatiques et du soutien des lobbies, véritables maîtres du système. Le citoyen lui, mal formé et désinformé, n’y voit que du feu. Mais une chose est sûre, si ce système se régénère c’est à cause de nos peurs et de notre inaction. Les plus avertis pensent avoir trouvé un exutoire dans l’expression de la volonté citoyenne par le vote, préférant fatalement s’en remettre à Dieu entre toutes les échéances électorales qui toujours s’avèrent fatales.
Pour Dr 𝗙𝗔𝗬𝗔, il faut malgré tout espérer en s’armant des clés véritables du changement présent pour l’avenir des défis présents et à venir.
Voici pourquoi nous devons croire à un homme qui dépeint la situation sans y laisser même un pan ? Pour lui, nous pouvons remporter cette grande bataille en exprimant la simple et réelle volonté d’action. Pour le président 𝗙𝗔𝗬𝗔 le chemin du changement est à la fois facile et difficile. Facile, car le chemin est connu, difficile car emprunter le chemin et s’y maintenir jusqu’à destination nécessitent énormément d’efforts, de volonté, de patience et de persévérance. Voici pourquoi un homme qui a décidé de tout changer se bat à vos côtés pour changer ce cours sale de notre histoire, et ce chemin il souhaite l’écrire avec tout le monde sans aucune exclusion.
Croyons en-lui car il est capable de changer les choses.
C’est toute sa conviction politique qui s’inscrit dans le temps qui le conduira au pouvoir malgré l’aplaventrisme cauteleux, la fourberie mensongère, la condescendance maladive, qui ont toujours été les attributs du mal guinéen !
Triste pays..
𝗔𝗕𝗢𝗨𝗕𝗔𝗞𝗥 𝗚𝗨𝗜𝗟𝗔𝗩𝗢𝗚𝗨𝗜.